Nous sommes le jeudi 31 juillet 2025. Vous écoutez un nouvel épisode de notre programme Intermédiaire, News, In Slow Franch. Bonjour à tous, bonjour Dominique. Bonjour, Imman. Bienvenue à tous nos auditeurs. Dans la première partie de l'émission, Dominique et moi allons parler de l'actualité. Notre premier débat portera sur l'accord commercial entre les États-Unis et l'Union européenne. C'est d'accord, est-il équitable ? L'Union européenne a-t-elle été intimidée par le président américain ? Nous discuterons ensuite de l'un des événements les plus tragiques qui se déroule actuellement sur notre planète. La famine à Gaza. Le conflit qui continue à Gaza divise les Israéliens. Cela va-t-il apporter un changement ? Notre section scientifique sera consacrée à une étude qui traite de la désinformation climatique sur les réseaux sociaux. Et nous conclureons la première partie de l'émission par un hommage à Osie Osborne, le légendaire leader de Black Sabbath et figure emblématique du Heavy Metal, qui vient de décider à l'âge de 76 ans. Très bien. J'ai hâte de débattre de ces sujets avec toi.

Moi aussi, mais d'y nous maintenant, de quoi nous allons parler dans la deuxième partie de l'émission. Le reste de l'émission d'aujourd'hui sera consacré à la langue et à la culture française. La leçon de grammaire portera sur les pronoms relatifs complexes, lequel, laquelle, lesquelles, lesquelles, duquel, de laquelle, desquelles, desquelles, Ouel Alakel Ouel

Eauquel d'équelles, d'équelles, auquel,

à laquelle,

auquel,

et auquel.

Nous discuterons du bilan à long terme des Gio de Paris 2024,

un an après les jeux.

Nous verrons ce qui a changé en France

au-delà de l'entousiasme suscité par cet événement mondial.

Nous terminerons avec l'expression faire avancer le chemin leblique. Nous évoquerons le débat qui entoure la nouvelle loi du plan. 2 millions de personnes viennent de signer une

pétition qui réclame son abrogation. Quelle décision prendra le gouvernement ? Ok maintenant que le Rido s'ouvre. Les responsables européens sont critiqués pour avoir cédé aux pressions américaines sur les droits de Doine. Les responsables européens ont insuillé de vivre critique après avoir conclu un accord commercial avec le président Trump, d'entrape qui impose des droits de douane de 15% sur la plupart des exportations européennes, tout en supprimant les droits de douane sur les voitures américaines et certains produits agricoles. Le premier ministre français a qualifié cette journée de jours sombre pour l'Europe, tandis que d'autres ont exprimé leur consternation face à cet accord déséquilibré. L'UE espérait une issue plus favorable, mais elle a été contrainte de s'ED après avoir réalisé le sérieux démonase de Trump d'imposer des droits de doigne à l'an jusqu'à 30%. Les plans initiaux visant à amuler les droits de doigne pour les deux parties sur les voitures et les produits industriels entêtés à abandonner. De nombreux européens s'en sont indignés, considérant que l'UE aurait dû être plus combative. Une fois l'accord conclu,

les responsables de l'UE

endéclarer qu'il fallait se concentrer

sur le fait que malgré ses lacunes,

c'est d'accord, rendez-la venir plus prévisible.

De plus,

les négociateurs de l'UE

en laissaient entendre que le commerce n'était pas le seul en jeu. Certains en ont conclu que la sécurité et l'avenir de l'OTAN avait également été des facteurs importants dans cette décision. Je suis d'accord avec le premier ministre français, François Beroux. C'est un désastre et un jour sombre pour l'Europe, lieu à tout simplement cédé à la pression américaine. L'UE ne sait pas vraiment dégonflé. Oui, les droits de douane s'entêlvait, mais il était crucial d'éviter une guerre commerciale totale. Cette objectif ne justifie pas d'autoriser des droits de douane de 15% sur les exportations européennes. Cet accord est déséquilibré et donc injuste. Trump avait menacé lieu de lui imposer des droits de doigne encore plus

élevé si elle n'accepte pas de négocier. La situation aurait pu être bien pire. Iman, soyons honnêtes, cet accord montre que l'UE ne peut pas résister face aux intimitations

américaines. Les autre nations ne peuvent qu'y voir un signe de faiblesse. En quoi la situation pourrait-elle être pire ? Le Europe n'a pas montré qu'elle était faible, mais plutôt pragmatique, dominique. Parfois, il faut faire face à la réalité quand on négoci. C'est d'accord, devrez au moins garantir une certaine prévisibilité aux entreprises. Une prévisibilité, au prix de la dignité ? Ce n'est pas une décision idéale, je suis d'accord. Mais elle portera peut-être ses fruits à l'avenir. C'est la fin de la pension gratuite de notre programme pour obtenir la version audio complète du programme d'aujourd'hui et la télécharger sur votre iPhone ou votre Android Aller sur www.newsinslowfranch.com

This concludes the free portion of our program.

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