Nous sommes le jeudi 19 décembre 2024. Bienvenue pour notre nouvelle épisode du programme Intermédiaire de News in Slow French. Bonjour à tous nos auditeurs.

Nous entamerons notre programme en évoquant quelques faits d'actualité. Nous commenceraons avec la destitution du président de la Corée du Sud à la suite de sa tentative d'imposer la loi marsiale le 3 décembre dernier. Ensuite, nous verrons que lieu souhaite réduire sa dépendance à l'égard des fondsnisseurs étrangers en matière de défense. Notre sujet scientifique sera consacré au résultat d'une enquête qui révèle qu'un employeur sur 6 hésite à embaucher un collaborateur de la génération Z. Puis nous terminerons la première partie de l'épisode par un sujet sur la découverte faite par des arcéologues. Il pense avoir trouvé la tombe du pernoël. Je proteste. Le pernoël n'est pas mort. Bien sûr que le pernoël est vivant. Je suis sûr que les archéologues ont tout faux, mais continuement. La deuxième partie de notre le sera consacrée à la grave mère et à la culture française.

Notre dialogue portera sur le sujet de la semaine, le Président simple.

Verves de la 3e groupe,

en-dingent en Indre.

Tendre, prendre et crer. Enfin, nous retrouverons à plusieurs reprises dans le dernier dialogue l'expression avoir des atomes crochues. Très bien, nous sommes prêts que le Rydosolève. La procédure de destitution du président de la Corée du Sud est portée devant la Cour constitutionnelle. L'indie, la Cour constitutionnelle de Corée du Sud a commencé à examiner la procédure de destitution du président Yon Sokyol. Consecutive à sa tentative d'imposer la loi martiale le 3 décembre dernier. Une audience publique doit avoir lieu le 27 décembre,

afin de définir les principales questions juridiques en jeu et le temps nécessaire pour traiter l'affaire. La cour dispose de 6 mois pour décider du sort de Jung-Sokkyul. La loi martiale, la première en plus de quatre

décennies, n'aura été instaurée que durant 6 heures. Jung risque maintenant d'être accusé de de rebellions et d'abut de pouvoir.

Si les reconnues coupables, Yon Sokjol, pourraient être condamnés à la peine de mort. Divers enquêteurs ont tenté de le convoquer pour interrogatoire. Mais les services de sécurité de la présidence n'ont pas répondu aux convocations. Ce même lundi, le chef du parti au pouvoir, Anne-Dong-Roon, a présenté sa démission, affirmant qu'il n'était pas possible de soutenir Yon-Suk-Yol, après avoir approuvé sa destitution. Cette démission fait ressortir les divisions de plus en plus importante au sein du mouvement conservateur sud-coréen.

Anne-Aéen.

Anne appartient à la jeune génération réformatrice en opposition avec la base traditionnelle de Young-so-Kill. Le président essaie de se défendre en affirmant que l'opposition a perturbé le travail

du gouvernement de manière abusive. Et quelque part il a raison. Aussi, perturbatrice qui est pu être l'opposition, la loi martiale dans un pays démocratique, aussi évolué que la Corée du Sud est une mesure biatropécstrème. Mais si le gouvernement était complètement entravé dans son action et qu'il semblait qu'une intervention radicale était nécessaire, n'était-il pas légitime d'essayer de préserver la stabilité du pays ? Non, on ne devrait pas sacrifier la démocratie au nom de la stabilité. Ça me choque que tu puisses défendre la loi marsiale ? Je ne défend pas la loi marsiale. Je dis justement que l'opposition n'est pas complètement innocente dans cette affaire. Mais je suis d'accord avec toi. imposer la loi martial n'est pas complètement innocente dans cette affaire. Mais je suis d'accord avec toi.

Imposer la loi martiale n'est pas la meilleure manière de gérer une contestation.

Cela pourrait même entraîner un glissement vers un régime autoritaire. C'est la fin de la pension gratuite de notre programme pour obtenir la version audio complète du programme d'aujourd'hui et lagé sur votre iPhone ou votre Android,

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